Guillotine (titre provisoire)
Calendrier
Passées
12 mars 2024
sortie de résidence
Espace Bernard-Marie Koltès (Metz)
DISTRIBUTION
Mise en scène et scénographie: Gaël Leveugle
Écriture: Jean-Charles Masséra
Assistance à la mise en scène et coordination: Louisa Cerclé
Lumière et régie générale: Frédéric Toussaint
Musique: en cours
Scénographie : Gaël Leveugle
Avec : Guillaume Cabrera, Marie Haerrig, en cours.
Administration et production: Margot Linard
PRODUCTION
Compagnie Ultima Necat.
SOUTIENS
Espace Bernard-Marie Koltès – Scène conventionnée d’intérêt national,
La Machinerie 54 -Scène conventionnée d’Intérêt National, Art et Création d’Homécourt,
Collectif 12, Espace 110,
Nest Théâtre – CDN Transfrontalier de Thionville.
NOTE D’INTENTION
Guillotine (titre provisoire) est le projet de création de la compagnie Ultima Necat pour 2026.
Guillotine (titre provisoire) se créera au plateau, entre trois acteurs et actrices et l’auteur Jean-Charles Masséra qui rédigeront ensemble les textes du spectacle (livret et mise en scène) par étapes à mesure qu’ils progressent en laboratoires d’essai.
Guillotine (titre provisoire) aura un objet politique. Elle prendra pour thème la Violence et cherchera à remettre le mot (le concept qu’il désigne mais aussi ce qu’il connote et colporte) en jeu dans notre imaginaire, dans nos affects et dans nos emplois.
Guillotine (titre provisoire) sera une pièce d’actualité. Elle cherchera à actualiser par la matérialité du théâtre où on en est de notre histoire avec la violence.
Guillotine (titre provisoire) aura une visée poétique. Il s’agira de contribuer à reconstituer nos rapports au monde par la provocation du et des sens plus que par le discours.
Guillotine (titre provisoire) vous laissera le choix. Nous ne savons pas mieux que vous ce qu’il convient de faire pour avancer dans l’obscurité, mais croyons que cela ne pourra se faire sans rêverie libérée.
Guillotine (titre provisoire) mettra sur scène des actes et des mots, cherchera la révélation de ce qui ne peut être vu si nous ne nous extrayons pas de la réalité. Elle ne croit pas à l’interprétation qui reste prisonnière des dialectiques de la réalité.